Sigrid Sako "Schokolade"

Sigrid Sako

Nom : Sako

Prénom : Sigrid

Surnom : "Schokolade", madame noodle, "la poubelle de table".


Sexe : Féminin


Âge : 26 ans

Taille : 1m75


Monde d'Origine: Terre, Allemagne, Stuttgart.

Race : Humaine


Orientation sexuelle : Bisexuelle


Description physique :
Dans un restaurant à viande, il y a les gens qui mangent, et ceux qui prennent la pièce de viande de 2kg pour impressionner. Moi j'ai la pièce de 2kg et une autre de 1kilo, celle que mon petit copain n'a pas réussi à finir (il réussit rarement à finir).
Je métabolise tout, je peux manger des tonnes et des tonnes de "néfastefood" (burger, pizza, etc) comme mon père appelait ça, pourtant je ne prendrais jamais un gramme, je suis bloquée sur un corps svelte de cinquante quatre kilos à mon grand bonheur. J'ai les cheveux blonds en désordre, les yeux bleus roquefort, la peau fromage blanc. Les lèvres pulpeuses, une poitrine honorable, je suis assez belle pour être qualifiée de séduisante (et recevoir des cadeaux au gymnasium de la part de plusieurs amis qui voulaient être plus).
En tant qu'agente de la CIA j'ai une condition physique plus qu'acceptable, assez pour avoir des tablettes de chocolat autant au niveau du ventre qu'au niveau de la mâchoire (au grand dam de certains). J'ai validé le luc léger pallier 12 au niveau de l'endurance, même si ça ne veut plus dire grand chose depuis que j'ai passé le test.
J'ai une énorme addiction au sucre : j'adore le chocolat, les friandises et tout ce qui contient du glucose, c'est pour ça que j'ai souvent un chewing-gum ou une sucette dans la bouche, j'aime bien.
Habituellement je porte des vêtements qui se fondent dans la foule : du noir dans les cimetières, du luxueux aux réceptions hupées, treillis et brêlage tactique dans les zones de guerre. En fait du moment que je me fais passer pour une lambda, que ça tienne chaud et que ça soit confortable à porté ça me convient.


Personnalité :
J'aime manger, finir les assiettes des autres et grignoter.
Plus sérieusement j'ai un tempérament très posée, je suis assez difficile à mettre en colère et carrément je-m’en-foutiste sur les bords, je n'aime pas particulièrement être au centre de l'attention où être sous pression même si j'arrive à rentrer dans le moule. Je suis assez rancunière même si j'ai tendance à rester très détachée des événements en surface, je suis assez extravertie toutefois j'apprécie surtout d'être avec mon cercle d'amis proches et pas avec des connaissances de vue. Face à mes ennemis et aux gens agressifs j'ai tendance à laisser couler et à centrer mon attention sur plus utile, comme mon prochains repas où ce que je pourrais grignoter en attendant.
Je n'aime pas les confrontations directes et préfère les entrevues polies : pourquoi résoudre par la violence ce qui peut-être résolu par la parole et l'esprit? La violence peut-être un moyen d'arriver à ses fins mais pas forcément le meilleur, surtout quand vous faites face à une agent de la CIA en face de vous.
Malgré les apparences, je n'ai pas trop de scrupules à enfreindre la loi où à faire du tort aux gens si ça me permet d'atteindre mes objectifs,qui ose gagne comme le disaient si bien les homologues et antagonistes de mon arrière grand-père.


CV: domaines de compétences et de connaissances:

Compétence surnaturelle : estomac de fer (à force de ne pas regarder la date de péremption la flore intestinale finit par accepter de nouveaux arrivants que voulez-vous.) Peut avaler à peu près n'importe quel aliment comestible où qui l'était depuis moins de deux mois sans risquer une intoxication alimentaire.
Médecine moderne : sait faire une réanimation cardio-pulmonaire, stabiliser les blessures graves et mineures de nature traumatologique (fractures, coup de couteau etc), aucune connaissances en médecine général où autre.
Trilingue (français, anglais, allemand)
Combattante à la dague de SAS Fairbairn-Sykes. (Dague avec une lame de 18cm pour 11cm de manche, conçu pour percer les vêtements lourds comme les vestes soviétiques en fourrure et provoquer des blessures nettes qui saignent facilement, inventée pour le Special Air Service Anglais lors de la seconde guerre mondiale.)
Comédienne. (dissimulation des émotions, facilité à mentir.)
Experte en armement (entretien d'armes à feu et des armes blanches principalement, quelques notions sur comment les utiliser.)


Histoire : 

-Combien de deutschemark pour un bisou?
-Vingt.
Voilà comment je faisais pour avoir des bonbons lors que les garçons étaient encore assez naïfs pour s'imaginer que j'étais une princesse épousable. Je leur faisais la bise en échange d'argent, de bonbons voir même en échange d'un devoir fait à ma place, c'est une habitude que j'ai toujours eu que d'effectuer des échanges de bon procédés avec les gens autour de moi pour alléger ma charge de travail, pourquoi s'interdire de mêler l'utile à l'agréable? Cette attitude a perduré au gymnasium où j'ai eu mon diplôme haut la main en élargissant mon cercle social et en sortant avec la première de ma classe.
J'ai ensuite suivie mes parents aux Etats-Unis d'Amérique : pas spécialement une contrée agréable à vivre mais qui m'a permis d'élargir mes compétences de linguistique et de poursuivre une carrière en tant que traductrice. En parallèle des études d'infirmières que je menais je suivais aussi des cours de théâtre pour faire partie d'une troupe : j'ai toujours aimé joué la comédie et embobiner les autres pour des raisons que j'ignore. Quoi qu'il en soit, à la fin de mes études dans ma région les hôpitaux étaient déjà pleins d'infirmières et j'étais de trop, hors de question pour moi de devenir infirmière à domicile, aussi j'ai commencé à dilapider mes économies dans des tenues festives et à faire la fête avec mes amis. Pendant un temps j'ai été une bête des soirées et j'ai assisté à beaucoup de choses compromettantes au fur et à mesure que les fêtes auquel je participais grimpaient dans les sphères sociales. J'ai investie dans des dictaphones et des stylos caméras avant de faire chanter ceux que je n'appréciais en leur mettant le nez devant leurs exploits compromettants. C'était grisant de sentir qu'on tenait la vie d'un homme dans le creux de sa main, qu'on pouvait la détruire en une minute, ça avait même un goût de reviens-y.
-Combien?
-Mille dollars et je ne dis rien à ta copine à propos de ce sa soeur et toi avez faits.
Un jour plus tard.
-Combien?
-Vingt milles dollars, monsieur le sénateur.
Quelques mois plus tard.
-Combien?
-Vingt milles.
-Vous n'avez pas froid aux yeux mademoiselle Sako, mais maintenant vous travaillez pour moi où je vous fous devant la cour suprême pour vos excès de pouvoir. Je suis le sous directeur de la CIA moi.
Un an plus tard.
Heureusement pour moi j'ai été recruté par la CIA et même été financée pour faire la fête et espionner des princes du pétrole, des investisseurs chinois et autres richissimes personnes qui avaient des intérêts avec les USA. J'ai été nationalisé Américaine, j'ai continué de participer à des réunions mondaines en m'alcoolisant tout en écoutant ce que je devais entendre, c'était bien d'être espionne à domicile : on boit, on écoute, on encaisse. C'était comme les soirées au gymnasium sauf que la rémunération était bien plus alléchante. Puis un jour j'ai exprimé mon envie de partir et de retourner dans mon Bade-Wurtemberg natal, j'ai reçu l'autorisation de retourner en Allemagne avec toujours les mêmes ordres de mission. Puis j'ai rencontré un trafiquant d'arme un jour à l'oktoberfest de Stuttgart, beau, élégant, intelligent et aimable, j'ai reçu l'ordre de le suivre (une consigne exécutée avec beaucoup de zèles). J'ai passé une petite année avec lui avant que nous recevions une mallette spéciale : le genre très lourde avec un digicode et une chaînette de sécurité. Je n'y ait pas touché, du moins au moment où nous l'avons reçu.
Dommage pour moi, c'était l'Oktoberfest de Berlin le lendemain et j'ai toujours eu une bonne descente de bière.
Maintenant? Je ne sais pas où je suis mais malgré la gueule de bois je crois que je n'ai jamais aussi été loin de Stuttgart. J'ai tout de même retenu la chose suivante : on ne boit pas à côté de matériaux anormaux.


HRP

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