Les Landes D'Aslinn
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 Herbert H.Doyle, un loup détective, élémentaire !

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Herbert H.Doyle
Nouveau Riche
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Herbert H.Doyle

Messages : 31
Date d'inscription : 17/07/2016
Age : 52
Localisation : Dans mon cabinet de détective privé


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MessageSujet: Herbert H.Doyle, un loup détective, élémentaire !   Herbert H.Doyle, un loup détective, élémentaire ! EmptyDim 17 Juil - 23:17

Herbert H.Doyle


Herbert H.Doyle, un loup détective, élémentaire ! Avatar10



Nom :  Doyle

Prénom :  Herbert, Howard

Surnom :


Sexe : Masculin


Âge : 60 mais en parait trente

Taille : 1m72


Monde d'Origine: Londres, 221 B Baker Street, 10 septembre 1895, Victoria Regio, Ere 10 du Great Change - Angleterre

Race : Wulfmensh


Orientation sexuelle : Hétérosexuel



Description physique :
Loup humanoïde à poils blancs portant de grands favoris noirs de jais, port fier et altier, s'habille de manière simple mais avec recherche, affectionnant la discrétion il opte pour des coloris simples et passe-partout (bruns, beige ou gris, parfois noirs), il possède aussi au bas des reins une belle queue fournit dont les poils blancs se mêlent de lignes noires.



Personnalité :
courageux, loyal, plaisantin, persévérant, honnête, confiant, altruiste, curieux, jovial, généreux et optimiste



CV: domaines de compétences et de connaissances:
Investigations/techniques policières, Escrime, Orientation, Calligraphie/graphologie, Arts du théatre



Histoire

Londres, 221 B Baker Street, 10 septembre 1895, Victoria Regio, Ere 10 du Great Change_

Cher journal ! Aujourd'hui Mister Thompson est venu régler mes honoraires. Le pauvre homme est encore tout retourné d'avoir appris que son neveu, élevé comme son propre fils, était le voleur de ses entrepôts, pire, qu'il utilisait les ressources de l'entreprise familiale pour s'adonner à un trafic d'opium. Comme j'ai tenté pour le consoler de lui rappeler que le jeune homme était un vampire de contamination, et qu'il est un fait certain, c'est que cette engeance est réputée pour son manque de sens moral. Le pauvre homme à fondu en larmes. Il s'est excusé et m'a quitté pour s'en retourner chez lui, resté seul je me suis fait cette réflexion : il est assez ironique d'imaginer que cet homme bien près de sa fin ne pourra jamais transmettre son nom et son entreprise à ce fils de transition, qui bien qu'immortel, restera pour un temps assez long, dans les geôles du quartier des mystiques sous la tour de Londres. Miss Hudson ma vieille logeuse vient de m'appeler pour le souper et comme mon nez sensible me dit qu'on aura du cochon grillé, je te quittes cher journal, je reviens bientôt.


Londres, 221 B Baker Street, 15 septembre 1895, Victoria Regio, Ere 10 du Great Change_

Cher journal ! J'ai été malade tout le week-end, si un étranger te proposes de priser un nouveau tabac ou de tester un nouveau genre de produit récréatif, alors abstiens-toi ! J'ignores ce qu'il y avait dans ce que j'ai respiré mais ça m'a bien fait délirer pendant une bonne journée et quand j'ai récupéré, je me suis retrouvé nu dans le parc de Whitechapel, heureusement que les loups sont poilus, j'ai sûrement épargné la pudeur des nombreuses soubrettes que j'ai croisé ce matin-là lors de mon périple vers le cabinet de mon cher Dr Watson. Il m'a reçut un peu surpris et assez hilare, puis je lui ait narré les faits et là il à moins rit. L'auteur du fameux détective Sherlock Holmes, m'a remis des affaires que je lui avait laissé la dernière fois qu'une enquête avait exigée que je me déguise. Puis il m'a confié ses inquiétudes face à ce nouveau produit qui faisait des ravages dans les rues de Londres.

Moi je lui expliquait que tout avait commencé avec un monsieur Williams qui, sous les conseils de Miss Hudson dont il était un cousin, était venu m'exposer ses craintes quant au sort de sa fille, jeune enfant de 21 ans, qui venait de décrocher deux semaines plus tôt un poste de secrétaire comptable dans une grosse entreprise d'import-export.

Ce qui l'avait inquiété c'est qu'il n'avait plus de nouvelles de sa fille depuis une semaine, car il ne se passait un jour sans qu'au moins un télégramme soit envoyé à ce père aimant par cette fille adorable. J'acceptais le dossier et commençais mon enquête par le siège londonien de la société employeuse de cette jeune disparue. Là, un gros bras, d'ascendance trolle visiblement (et en odeur aussi) me regarda avec morgue et mépris, me demandant sèchement ce que je désirais. Je lui demandais si Miss Ethel Williams pouvait venir me parler ou tout du moins si je pouvais lui parler. Le cerbère de la porte, compulsa un livre de cuir noir, faisant glisser un doigt à l'ongle sale sur une liste de noms, puis ne trouvant visiblement pas le nom demandé il me dis que personne s'appelant Williams, ne travaillait en ces lieux. Je m'étonnais, insistant sur le fait que la jeune fille travaillait là depuis deux semaines, que pas plus tard que le lundi précédent je l'avais vu sortir d'ici avant de la conduire au théâtre. Il n'en voulut rien savoir et même menaça de me transformer en descente de lit.

Gardant mon calme je suis repartit, mais plus tard cette nuit-là je suis revenu pour fouiller plus à mon aise, j'ai trouvé deux ou trois indices qui m'ont conduits à une autre adresse près des docks, et à un entrepôt fort fréquenté pour une heure aussi tardive. J'étais en plein espionnage quand un coup sur le crâne me fit perdre conscience. Je me suis réveillé enchainé, la tête à l'envers face à un homme en costume blanc, il se présenta comme étant le Professeur Mortinetti, chimiste amateur et entrepreneur ambitieux, il me demanda ce qui me conduisait à trainer mes poils en ces lieux forts humides. Je lui répondit que je cherchais ma fiancée et qu'il serait fort aimable s'il pouvait m'aider dans cette recherche.

Il déclina la proposition mais voulant montrer qu'il n'était pas un vilain personnage, il m'offrit de goûter son nouveau produit, destinée à révolutionner le monde des drogues récréatives. N'acceptant pas mon refus, il me fit respirer une poudre étrange et bien vite je sombrais dans un délire cauchemardesque, dont grâce au ciel, je ne garde aucun souvenir. Et donc je me retrouvais chez mon ami, en train de frapper à sa porte, couvert de mes seuls poils personnels. Watson me conseilla de rentrer chez moi, car cette drogue chez les humains normaux conduisait à la folie et à la mort. Il craignait que chez un loup, il s'opère un contrecoup à ne pas négliger. Il avait raison, à peine rentré chez ma bonne vieille logeuse, je ressentit une étrange apathie, et voilà deux jours que je suis exterminé par la fatigue, assaillit par les sons de le ville. Cela vient de cesser je suis encore nauséeux, mais j'ai hâte de retourner voir Watson, il m'a promit de me faire lire son dernier récit des aventures de Holmes, il a inclut ce Professeur du crime dans son histoire et voudrait mon avis pour son nom, il hésite entre Moriety ou Morary, je penses qu'il devrait mélanger les deux, Morierty ou Moriarty, mais pour l'heure je suis fatigué, je dois aller me coucher. j'espères au moins que cette fois-ci je ferais des rêves plus agréables. Bon, au revoir cher journal, on se revoit après ma sieste.

Dans un cercle de pierre, date inconnue, localisation inconnue

Cher Dr Watson, je m'adresserais à vous, quand bien même vous n'êtes physiquement pas présent. Je fais ainsi afin de ne pas perdre la raison dans cet étrange songe. Donc, mon ami, imaginez, je me suis couché la veille à Londres, blottis dans mon lit fraichement bassiné par Miss Hudson. Un sommeil sans rêves hélas mais au moins sans cauchemars.

Et voilà je me réveilles ici. Un cercle de grands monolithes de pierres entoure une zone assez vaste d'herbes bien grasses, le cercle lui-même est enserré dans les arbres d'une forêt qui éveille mes instincts primaires. Cet endroit est assez reposant et inquiétant aussi, je me demandes comment on m'a transporté ici, sans doute les effets secondaires de cette poudre. Face à moi je distingue un monolithe gravé,d'ailleurs c'est à ce moment que je réalises que, pour une fois, je ne me retrouves pas nu dans la nature. Mais en costume de lin et chemise blanche.

Je me rhabilles vite fait et consultes les instructions notées sur le monolithe , on y parle de Caeartas, Angus et Balor, de choses immuables qui ne doivent pas changer, d'une auberge qui comme le cercle mégalithique, est un territoire sacré, ces mots, vous le savez sans doute cher ami, ont un sens très particulier pour les membres de mon espèce, attachés que nous sommes aux lignées de sang et au territoire de chasse de notre meute.

Pour finir il est fait référence au fait d'être libre de mœurs et sans violence excessive d'aucune sorte, je ne suis pas spécialement prude ou pudibond, mais vous conviendrez avec moi que notre temps réserve ces pratiques charnelles aux secrets des alcôves des maisons pour gentlemen. Ce qui me fait penser que je suis loin de cette chère Albion que ces cochons de français qualifie de perfide. Mais la végétation me semble représentative du continent européen, mais j'ignores de quelle contrée, quoique certains noms de lieux, référence claire à la langue des gaëls peut indiquer un territoire fréquenté par des celtes. Une zone géographique assez large.

Au-delà de ce cercle de pierre, je distingue un chemin de terre assez large, je m'en approches, aucune indication, j'inspectes le sol mais à part que la route est très fréquentée, je ne peux pas savoir où mène une direction plutôt qu'une autre aussi je préfères revenir vers le cercle, de toutes façons, tant que je n'ai pas inséré cette pierre étrange dans un Menhir, je choisis celui de de l'ordre et des lois, il doit forcément y avoir un chemin qui y conduit. Je fais un tour les yeux fixant le sol pour finalement trouver un chemin tracé par les pieds des nombreux passants qui apparemment ont foulés ce sol sacré.

Je vérifies ma tenue, arranges mon pantalon pour y faire passer mon panache caudale, remues celui-ci afin d'arranger les poils entremêlés, puis me diriges d'un pas alerte vers cette auberge sacrée, espérant y rencontrer des êtres vivants et surtout calmer mon estomac qui se satisferait bien d'un bon rôti. Au bout de quelques pas rapides je fus bien vite en vue de l'établissement, je m'arrêtes à quelques mêtres de la porte et hésites sur la suite des évènements, je suis en pays inconnu et ne sais pas où aller, si seulement cher ami vous étiez là pour me donner vos conseils avisés.

En fait tout s'est plutôt bien déroulé, j'ai rencontré Rose mon assistante, me suis engagé un temps dans la milice, je finis par démissionner le jour de la nomination du chef milicien , je m'engageais dans un cabinet de détective, recueills une jeune fille victimes de criminels et bientôt, faisant acquisition d'un local de commerce dans les quartiers commerçants de la ville de Ceartas, je m'y installait, le remis en état avec Rose et ouvrit mon cabinet de détective. On eut le plaisir de gagner assez pour que je me portes acquéreur d'un appartement cossu de six pièces dans les quartiers d'habitation, et en sus je puis engagé un valet de pied, bien brave et fort loyal.

Tois ans ont passés, l'adolescente est devenue pratiquement une belle jeune femme et moi je me suis fait ma réputation d'enquêteur, à tel point que la ville m'a remis une canne-épée fort particulière. Ici la vie est étrange mais malgré son insouciance, les criminels sévissent aussi, donc je ne me plaint pas, j'ai mes amis, mes ennemis et mes clients ! J'ai une bonne vie presque comme à Londres en plus rustique, mon cher Watson, j'espères qu'un jour je vous reverrais, mais nul ne sait ce qu'il adviendra de l'avenir !









HRP

Code Règlement: 1285



Comment avez-vous connu le forum?: par piston

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