Rose Albrech
Nom : ALBRECH
Prénom : Rose
Surnom :
Sexe : Féminin
Âge : 30 ans
Taille : 1m60
Monde d'Origine: Terrienne, Française
Race : Humaine
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Description physique :
Rose est plutôt petite, (à peine 1m60), mais plutôt jolie avec un corps aux courbes généreuses et harmonieuses. Les longues boucles de ses cheveux châtains encadrent un visage agréable et souriant, éclairé par un doux regard d'un bleu troublant.
Personnalité :
profondément bienveillante et attentive aux autres, Rose a besoin qu'on l'aime pour pouvoir avancer. Pour cette raison, elle fait toujours tout ce qui est en son pouvoir pour être agréable aux gens qui l'entourent. Toutefois, si elle s'estime trahie, ou si elle se rend compte qu'on la prend pour une idiote, elle peut rentrer dans des colères noires et rompre tout contact avec le ou la fautive. Elle est aussi plutôt joyeuse, espiègle et taquine, bien que ça soit plus un mécanisme de défense pour masquer son profond manque de confiance en elle.
CV: domaines de compétences et de connaissances: - Profonde empathie qui lui permet de ressentir les émotions des autres, de deviner leurs sentiments.
- Bon sens de l'observation.
- Bonne maîtresse de maison, organisée et bonne cuisinière.
- Espiègle et joueuse.
Histoire :
Rose est née dans une petite ville, ou plutôt un village qu'elle n'avait jamais désiré quitter.
A la date de l'étrange événement qui allait changer son destin, elle avait une vie tranquille et sans histoire entre son mari et sa ménagerie.
Elle aimait vivre entourée d'animaux, des chevaux, des chiens et des chats, tous des rescapés qu'elle avait sauvés d'une manière ou d'une autre.
Elle était d'une nature profondément bienveillante et très attentive aux autres. Quand il lui arrivait, bien involontairement de vexer quelqu'un, elle en était malade.
Depuis quelques mois, elle avait racheté l'épicerie du village, et comme elle était une enfant du pays, qu'elle était très agréable et commerçante, les affaires marchaient plutôt bien.
Mais depuis quelques jours, elle était malheureuse. Une âme bien intentionnée lui avait laissé entendre « pour son bien » que son époux n'était peut-être pas aussi fidèle qu'elle l'avait toujours pensé.
Bien sûr, ce n'était que des ragots, mais connaissant la personne qui lui en avant parlé, elle savait que bien qu'elle soit mauvaise et adore faire du mal aux autres, elle ne le faisait pas à l'aide de mensonges. Elle avait donc toutes les raisons de penser que cette information était exacte.
Elle se demandait si elle devait affronter la situation de front, et demander des explications à son cher et tendre, en espérant qu'il aurait au moins l'honnêteté de ne pas lui mentir ou si elle devait d'abord vérifier, d'une façon ou d'une autre, les informations qu'on lui avait fournies et le mettre face à ces preuves.
En attendant, prétextant avoir du mal à dormir, elle ne partageait plus son lit et dormait sur le divan du salon.
Ce qu'elle ignorait, c'est que le destin ne lui laisserait pas le temps de découvrir ce qu'il en était.
Un matin, elle fut réveillée par le froid sur sa peau nue et découvrit qu'elle était étendue, complètement dévêtue sur un sol froid et dur. Elle n'était plus chez elle et elle n'avait absolument aucune idée de l'endroit où elle se trouvait.
Les premières heures avaient été un peu difficile, elle était perturbée, ne sachant pas où elle était, comment elle y était arrivé, puis apprenant qu'il n'y aurait pas de retour possible. Elle s'était demandé ce qu'elle allait devenir, elle la fille plutôt sage, dans ce monde qui semblait plutôt déluré.
Heureusement, elle avait eu la chance de rencontrer un autre nouvel arrivant, un homme-loup aux manières délicieuses. Il l'avait prise sous son aile, faisant d'elle son assistante et son amie.
Ensembles, ils avaient traversés les épreuves de cette nouvelle vie, rencontrés des êtres particulier et potentiellement dangereux, et trouvé un foyer.
3 ans plus tard, elle travaillait toujours pour Herbert, qui avait fini par monter une agence de détective renommée. Il avait fait l'acquisition d'un local pour son agence et d'un appartement spacieux ou ils vivaient avec leur fille adoptive, pauvre enfant perdu qu'ils avaient recueillis adolescente et qui était à présent devenu une très belle jeune femme. Au fil du temps, Rose avait commencé à se considérer comme une colocataire plus que comme une employée. Elle tenait le foyer comme le sien, s'assurant que personne ne manquait de rien.
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