Yuuretsu Katsu
Nom : Yuuretsu
Prénom : Katsu
Surnom : La dame aux mille talents
Sexe : Féminin
Âge : 25 ans
Taille : 1,66 cm
Monde d'Origine: Le Japon du XIXe siècle ; quartier de Ponto-Cho, Kyoto
Race : Humaine
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Description physique :
Si le Geishas sont maîtresses des arts traditionnels et de l'élégance réservée, nombreuses sont celles connues pour leur incroyable beauté. Si je suis
atatori, l'héritière de l
'okiya, c'est bien grâce à ma popularité au sein de Ponto-Cho... qui est toute justifiée.
Chez nous, la pureté se mesure au pâle de la peau, que j'ai laiteuse, souvent rehaussée d'un voile de poudre blanche. Mes cheveux noirs d'encre sont relevés dans le chignon traditionnels, décoré de peignes fleuris, de perles d'argent, d'épingles. A l'arrière de ma coiffure, je porte le ruban blanc, symbole de la virginité perdue et de la féminité trouvée... Une fois libérés, mes cheveux chutent sous mes reins dans une cascade sombre, dévoilant un côté plus... sauvage de ma personnalité.
Sous le maquillage traditionnel, aux lèvres rouges, aux yeux soulignés et aux dents noircies, mon visage arbore des traits matures, entre les lèvres pleines, le petit nez droit, et les yeux en amande. J'ai, cependant, une mine moins ronde que la plupart des autres japonaises, peut être un lien à la goutte de sang occidental qui coule dans mes veines...
Vêtue selon les kimonos propres aux Geishas, j'aime à choisir la plus belle des soie. En été, je porte le
ro, léger et volubile, cousu de fleurs et d'arabesques. Le plus souvent bleu, rose ou vert tendre, il prend de sa douceur aux vents estivaux, de sa luminosité au soleil du midi. L'automne, l
'hitoe, légèrement plus couvrant, est serti de couleurs chaudes et apaisées, dignes des plus beaux arbres qui revêtissent leur parure. Brun, orange, rouge... les dessins sont quant à eux, argentés. Enfin, l'hiver, ma saison préférée, est réchauffée par l'
awase. Les couleurs sont vives, les décorations dorées. Et au col, une épaisse fourrure pour couvrir mon cou...
Elegance, douceur, tradition.
Personnalité :
Quel genre de dame puis-je bien être pour être passée de la respectable geisha de Ponto-Cho, à la non moins respectable geisha des Landes ? Laissez moi donc me présenter à vous...
Si j'ai été vendue jeune à l
'okiya, j'ai néanmoins rapidement adopté l'élégance sage propre aux femmes de mon rang. D'enfant rebelle et sauvage, je suis devenue dame distinguée au sourire d'une douceur semblable à celle de l'épousée. A ce rôle délicat où je tiens lieu de douce distraction pour ces messieurs, j'ai trouvé ma place. La mesure et la sensualité dans chaque geste me rendent maîtresse d'un art difficilement accessible. J'aime à émouvoir le coeur de mes clients en leur offrant la vue de mon poignet lorsque je verse le thé, celle de ma nuque en dernière offrande quand je quitte la pièce. Etre geisha a forgé mon caractère, m'a rendue indépendante et fière. Main de fer dans un gant de velours, cependant, puisque c'est mon calme et mes talents qui sont appréciés.
Malgré un plongeon dans ce monde parallèle que forment les Landes, je n'ai perdu ni mon amour des traditions japonaises, ni même mon désir de les faire apprécier autour d'une cérémonie de thé. Seulement, la nature dévergondée de ces terres m'a ouverte à une autre passion, jusque là honteuse et soigneusement dissimulée; il semblerait que mon coeur et mon corps aient une rude affection pour une certaine sexualité. Attention, cependant, je n'offre point mes services sur ce point là. Mes charmes sensuels n'appartiennent qu'aux amants qui savent me séduire. Et à ceux là, je n'ai nulle hésitation à me montrer tantôt dominante, tantôt obéissante, passionnée où mesurée...
CV: domaines de compétences et de connaissances: - Maîtrise inégalable de l'art du thé
- Maîtrise inégalable de l'art de la danse
- Maîtrise inégalable de l'art du
shamisen- Maîtrise inégalable de l'art gastronomique
- Maîtrise inégalable de l'art du bondage
Histoire :
"N'ai pas peur, Hina !"Je regarde derrière moi, la rassurante silhouette maternelle. Son regard doux et bienveillant ne me lâche pas, comme si elle est réellement convaincue que me vendre à cet homme est une bonne idée. Celui-ci m'attrape sous les bras, me soulève pour me déposer à ses côtés, dans la charrette. l'une de mes sandales est restée plantée dans la boue, j'ai un pied nu... mais je ne dis rien. Un dernier petit regard par-dessus mon épaule... elle est si maigre, minuscule forme sombre, tenant à bout de bras une petite chandelle, seule source de lumière dans la nuit sombre. Je sais que je ne la reverrais pas.
"Elle est maigre. Ses traits sont trop secs, elle fait plus que son âge. Tu es sûre qu'elle a 8 ans ?"L'homme hoche la tête, frénétiquement, à chaque question posée. Il tient entre ses mains un vieux chapeau mou, qu'il malaxe, nerveusement. la femme devant moi doit bien avoir dans les 150 ans, plus fripée qu'une vieille pomme, un kimono sombre attaché à ses fines épaules.
"... je la prend. Si elle garde ces traits là, adulte, elle sera appréciée. Sinon..." Elle me donne une petite tape au creux du dos, du bord de son éventail. Je me redresse brutalement, la regarde dans les yeux. Elle me rend mon regard, froidement. Cependant, je n'ai pas la moindre crainte. Sous la dureté de ses iris noir de jais, je peux voir de la bonté. Elle prendra soin de moi.
"Tu t'appelle Katsu, désormais."J'avance dans la foule, à pas lents et mesurés. A mes côtés, Satsuko, la maiko que j'ai pris sous mon aile, tiens l'ombrelle au-dessus de ma tête, pour me protéger de la neige délicate qui tombe, cette nuit là. Elle me raccompagne au sein de l
'okiya, où nous vivons avec Mère. La soirée fut bonne, nous avons exercé notre art devant quelques hauts fonctionnaires de notre beau pays. Nous sommes, comme toutes les autres délicates jeunes femmes qui parcourent ces rues, la fierté de nos pays. je relève la tête, offre un sourire complice à la jeune maiko, mon unique amie là où la rivalité est la plus forte des relations. Nous venons de la maison la plus célèbre, je suis la geisha la plus appréciée. Je n'ai aucune crainte pour l'avenir, je n'ai aucune crainte pour ma place.
"Aaah, aaah... Satsuko... Aaaaah..."Je me cambre, lève les yeux vers mon tendre bourreau. La corde presse contre ma poitrine ronde, le noeud coulisse contre la petite boule de nerfs sensible. Elle saisit, d'une main, ma longue chevelure noire et embrasse tendrement mes lèvres. Sans les lâcher, elle s'agenouille face à moi et frôle, du bout des doigts, la partie la plus sensible de mon anatomie. Je me sens basculer dans la puissance d'un orgasme, si cruellement nourri par la délicatesse et les taquineries de mon amie. Mais celui-ci... celui-ci est différent, celui-ci... je me sens quitter mon corps... oh...
"Satsuko !" "Souhaitez vous goûter un uiro, Sensei ?"Je lui tend la petite assiette, à deux mains, avec un sourire amical, doux. L'homme me le rend et retient d'une main la manche du kimono gracieusement prêté par ma maison, pour se saisir de la pâtisserie traditionnelle. Je m'agenouille à nouveau à ses côtés et nous reprenons notre discussion.
Voilà 4 ans que j'exerce dans ce nouveau monde, si différent de mon Japon natal. l
'okiya a rouvert au sein de cette nouvelle terre. J'en suis la seule attraction, à faire voyager ces clients de tous pays et de toutes époques. Viendrez-vous, vous aussi, découvrir les charmes de la geisha ?
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